Header Ads

Les Plus Brillant Romans Algérien en langue Française


Les Plus Brillant Romans Algérien en langue Française  

    En réalité, à cause de la conquête française de 1830 que les Algériens apprennent la langue Française (la politique française durant son colonialisme) et ils l'utilisent comme un moyen de revendiquer leurs droits. En 1920, les premiers romans Algérien en langue Française commencent à apparaître comme La Femme du Mineur d'Abdelkader Hadj Hamou. En 1952 et à travers la guerre d'indépendance Algérienne (1954-1962), il y avait un grand prolifèration des romans Algérien en langue Française qui discutent la difficulté ou de l'impossibilité de s'intégrer pleinement dans l'univers occidental (France). 

    Mouloud Mammeri est un pionnier bien connu du roman Algérien, même s'il n'a pas beaucoup écrit car il a consacré une grande partie de son temps à l'enseignement et lutte pour préserver la langue et la culture berbères. Les quatre romans qu'il a écrits correspondent à trois événements majeurs de l'histoire de la société Algérienne: le colonialisme français dans La Colline Oubliée et Le Sommeil du Juste, qui décrit l'impossibilité de l'assimilation; le pays en lutte pour l'indépendance dans L'opium et le Bâton (1965); le désenchantement de la période de postindépendance dans La Traverse (1982).

    Le roman Nedjma de Kateb Yacine a été publié en 1956. Ce roman symbolique exprime la quête d'identité des Algériens et leur lutte pour la liberté. Malek Haddad a publié aussi des romans comme La Dernière Impression (1958) qui raconte l'histoire d'une famille profondément touchée par le début de la guerre d'Algérie , L'élève et la Leçon (1960) dans lequel le protagoniste (un médecin) est en colère contre lui-même pour être en France (L'ennemi Algérien), et Le Quai aux Fleurs ne Répond Plus (1961). En plus de Mohamed Dib qui a écrit des dizaines de romans comme, Qui se Souvient de la Mer ? (en 1962), La Grande Maison, L'Incendie, Le Métier à Tisser. Dans ses œuvres littéraires, il tente d'illustrer  la difficulté de vivre en exil.

    Au cours de la postindépendance, le roman de Rachid Boudjedra, La Répudiation (1981) a été publié. Il a écrit Le Désordre des Choses (1991), Le Démantèlement (1982) qui se concentre sur un personnage principal qui reste fidèle à ses propres valeurs et à son identité. Un autre romancier Algérien est Mimoni qui a écrit Le Fleuve Détourné (1982), L’Honneur de la Tribu (1989) et Une Peine à Vivre (1991). Dans ses travaux, il dénonce les échecs sociaux et les désillusions de l'indépendance.

   En 1984, Les Chercheurs d'Os de Tahar Djaout a été publié à Paris. Dans ce roman, des jeunes gens à la recherche d’os dispersés qui reste des gens disparu pendant la guerre Algérien. L'Invention du Désert (1987). En plus de Mouloud Feraoun et ses romans ; Le Fils du Pauvre et La Terre et le Sang. 

    Il y a eu juste un peu de femmes romancières en Algérie appartenant à la génération des années 1950, comme Les Enfants du Nouveau Monde, Les Alouettes Naïves (1967) d'Assia Djebar (1962). Ses romans discutent la condition des femmes qui ont été privées de la voix dans la société patriarcale. Elles racontent également l'histoire Algérienne contemporaine, comme dans L'Amour, La Fantaisie (1985). 

    Il est très important de souligner qu'il y a beaucoup d'autres écrivains éminents que je n'ai pas mentionnés, et vraiment toutes ces œuvres littéraires, mentionnées plus haut, sont des chefs-d'œuvre très précieux qui nous en apprennent beaucoup sur la société et l'histoire Algérienne.

                                                                                                         Écrit par ARAB Sabrina

Aucun commentaire

Fourni par Blogger.